Angoisse !
Celui qui sait la violence de ton étreinte ; la glace de tes sueurs ; la panique de tes étouffements ; la terreur envahissante de tes pensées tourmentées ; celui qui sait tout cela, sait que tu es un compagnon de route redouté voire, par bien des fois, maudit !
Un compagnon de route qui une fois installé à nos côtés ne semble décidé à nous quitter malgré toute notre bonne volonté à tenter de s’en dégager.
Alors, laissons-nous le temps et l’espace d’une vision plus profonde de ta possible raison d’être. Prenons soin de te considérer autrement que comme un compagnon de mauvais augure, et imaginons :
Imaginons que tu sois le messager de mes aspirations les plus intimes, de mes désirs les plus fous, de mes souhaits les plus cachés !
Imaginons que tu sois un des derniers remparts me protégeant d’une vie dépourvue de sens, d’une morne existence !
Imaginons que tu sois une lanterne signalant la tiédeur d’une vie plus subie que choisie !
Et si :
Et si malgré moi, tu m’invitais à t’écouter ? A m’écouter ?
Et si tes étouffements me parlaient de mon besoin profond de respirer, rire, chanter ?
Et si tes palpitations cardiaques me rappelaient à l’ordre des rythmes de mon cœur ?
Et si tes peurs d’enfermements étaient les porte-paroles de mon besoin vital de liberté ?
Et si tes nausées et diarrhées parlaient de mon besoin viscéral de faire le tri en moi ?
Et si tu étais le messager d’une vie qui ne demande qu’à s’installer ?
Et pourquoi pas ? Y as-tu déjà pensé ?
Je sais, c’est risqué !
C’est un chemin peu fréquenté !
Des décisions, du tri, des reconsidérations, il faudra effectuer !
Et vouloir marier l’angoisse à l’amour en revient à souhaiter l’union du feu à la glace !
Et pourquoi pas ?
Alors, comment faire quand mon quotidien est tout entier parasité, handicapé, par les méandres imposés de mon instinct de survie ?
Par quelle porte passer ?
Tout d’abord, se poser, respirer…
Et surtout, ne pas faire l’affront à cette digne messagère de vouloir la faire passer avec deux ou trois « trucs et astuces » de grand-mère à l’emporte-pièce.
Non, tu mérites bien mieux que ça ! Tu as plus de valeur que ça ! Tes angoisses tout autant !
Pour ce faire les bienfaits de la Sophrologie sont incontournables !
Tout d’abord pour apaiser les tensions nerveuses, physiques, émotionnelles et mentales résultants de tes troubles anxieux. Pour ouvrir un espace nouveau de conscience de Soi, de toi, de moi…
Après quelques séances, vécues en conscience, laisser émerger, refaire surface et puis se sentir à nouveau stable, ancré afin de retourner dans le monde, mais…
Pas trop vite, ne soit pas trop empressé, car l’angoisse, au cas où tu l’aurais bien vite oublié, est une invitation à bien penser/panser sa Vie…
Ici, quelques séances de psychothérapie bien ciblée, que j’ai pris de soin de baptiser psycoachtherapy , prennent toutes leur nécessité, laissant libre au consultant de laisser enfin parler le meilleur de son Être bien trop souvent englué, emprisonné dans des situations vécues comme imposées…
Voici le style de rencontre thérapeutique que je peux vous proposer au sein de mon cabinet.
Ce qui pour moi est incontournable pour apaiser les « crises d’angoisse », l’est aussi en ce qui concerne les troubles de l’anxiété, du sommeil, du stress, de la dépression, du burn-out…
Ainsi, de tout mon cœur je vous souhaite vous aussi de pouvoir dire un jour :
Angoisse, Mon Amour !
Michaël
13 novembre 2017 @ 20 h 02 min
Bonjour Fabrice, Tout à Fait d’accord Avec toi. L’angoisse peu d’abord faire peur. Et ça je connais bien. Mais en apprenant à l’apprivoiser, lui parler, l’accepter et lui faire de la place alors il n’est pas rare de s’apercevoir qu’elle cache bien souvent un de nos besoins fondamentaux inconscients dont nous n’avions aucune idée. A partir de là elle peut commencer à devenir un compagnon de route fidèle qui ne manque pas de se rappeler à nous quand un de nos besoins n’est pas satisfait. J’attends avec impatience ton prochain article. A bientôt. ML
Fabrice
14 novembre 2017 @ 16 h 48 min
Bonjour Michaël, Merci pour ton partage de vécu et de vision!
Promis, je “ponds” au plus vite un nouvel article…
A bientôt
Amélie
14 novembre 2017 @ 11 h 02 min
Fabrice,
Voici un site qui te ressemble ô combien!
Tu nous mènes sur un chemin qui s’éclaire peu à peu , comme les images illustrant tes articles qui s illuminent une fois qu’on les a lus!
Tu te présente lentement dans ce site de psycoachtherapy que j aurai volontiers renommer psycoach-terre-happy 😉 pour tout ce que cette terre du Revest te transmets de positif et que tu sais si bien partager dans ton travail !
Tu nous mets en appétit de ce que pourrait devenir notre vie avec un petit plus, un peu de sophrologie, de marche consciente, ou une rencontre thérapeutique. …
Je n ai qu un mot à dire à tes visiteurs, laissez vous guider, laissez-vous surprendre par ce thérapeute, et votre curiosité en sera récompensée !
Fabrice
14 novembre 2017 @ 16 h 46 min
Merci Amélie…
Frarin
14 novembre 2017 @ 15 h 00 min
Comme c’est bizarre je me disais domage que Fabrice soit si loin j’aurai bien fais un bout de chemin thérapeutique avec lui et en moment je suis dans angoisse mon Amour en plein . Alors est-ce possible et vrai tu proposerais des séances par Skype ?
Fabrice
14 novembre 2017 @ 16 h 43 min
Bonjour Evelyne, oui, oui, c’est bien vrai : je propose des séances via skype…
A très vite alors…
Anelina Boresi
14 novembre 2017 @ 20 h 40 min
Quel plaisir de lire ces lignes, d’entendre parler de l’angoisse avec tant de poésie; merci d’avoir ouvert une fenêtre et que la beauté entre enfin dans ce monde en gris
Fabrice
22 novembre 2017 @ 7 h 02 min
Merci Angelina!
borja
22 novembre 2017 @ 5 h 58 min
tres bien ecris , mon angoisse ,mon amour…..une vie
Fabrice
22 novembre 2017 @ 7 h 02 min
Merci Isabelle!
Yéranian
26 janvier 2018 @ 20 h 56 min
Beau message d’amour! Je le reçois, ça infuse ….et bizarrement ça résonne avec ce que je vis dans l’instant!
L’angoisse est Vie! Saurai-je la (les) regarder autrement, avec bienveillance et calme? A suivre…
Merci Fabrice, ce texte est magnifique!
Katia
Fabrice
27 janvier 2018 @ 9 h 04 min
Merci Katia!
chantal augier
25 février 2018 @ 9 h 16 min
De te lire, de t’écouter, de te regarder, c’est apaisant et réconfortant. Avec toi, aux côtés des “estourbis” de la vie on sent que tout peu être plus facile.
Merci Fabrice
Fabrice
24 août 2018 @ 22 h 39 min
Merci Chantal! Un “estourbis”, comme tu dis, qui fait son chemin n’est plus vraiment un “estourbis”…
Eden
24 août 2018 @ 12 h 01 min
Aller au plus profond de soi….parce que nous avons été formatés à une vie qui ne nous convient pas…? Je n’ai jamais songé à cela. A bien y réfléchir, elles ont été provoqués (mes copines (amies) angoisses) à un moment de ma vie bien précis…et il est vrai que je suis passée outre ma volonté dans une certaine mesure.
Alors comment savoir où se trouve le bon chemin ? Pas simple….Et pour autant, j’aimerai tant que ses angoisses me quittent….Je suis handicapée physique à la suite d’un accident de la route..(mes crises étaient déjà présentes dans ma vie)…je peux dire que je préfère de loin mon handicap physique….C’est dingue de dire cela…non ? Votre texte est si proche de la vérité….j’ai pourtant tout fait….Emdr, sophrologie, cohérance cardiaque, psychothérapie, hypnose, homéopathie, antidépresseurs et j’en passe….rien à faire…elles me collent à la peau….
Fabrice
24 août 2018 @ 22 h 35 min
Merci de ce partage de vie Eden, il y aurait certainement beaucoup plus à dire… Je vous souhaite de trouver une personne et une approche qui vous permette de trouver des espaces de respiration!